Le gouvernement explique :
L’anse de Mont-Louis se présente comme un baie profonde, presque rectangulaire. Du coté ouest de la baie, la rivière Mont-Louis se déverse dans la mer formant une zone de mélange des eaux douces et des eaux salées au sud du pont (barachois) et un delta de sédiments sableux dans la baie (figure 3.1).
La rivière Mont-Louis abrite du saumon (faible densité) et de l’omble de fontaine anadrome. De plus, la zone de mélange des eaux douces et salées (zone d’eau saumâtre) est un milieu généralement riche. Quand au benthos, il n’existe aucun inventaire de la faune benthique de l’anse de Mont-Louis.
Toutefois, selon la nature du substrat (sable et sédiments plus fins), les mollusques et les pélécypodes (littorines, bourgots, moules, myes, macomas) ainsi que les vers poly-chètes sont les principaux organismes susceptibles d’être retrouvés. Ces organismes ne sont pas exploités dans l’anse
de Mont-Louis (C. Turgeon, comm. pers).
Source : http://www.bv.transports.gouv.qc.ca/mono/1162988.pdf
Au Québec on retrouve plusieurs lieu appelés Pointe-Sèche. À Godbout, à Kamouraska. Bien que formellement, en géographie : “une pointe sèche est une zone de sol ferme ou non inondable dans une zone de zone humides, de marais ou de plaines inondables.” (https://stringfixer.com/fr/Dry_point) On retrouve un endroit au Québec pour lequel la pointe-sèche est une pointe de la montache dans laquelle il ne pousse rien car on n’y “trouvait que du bois mort”. ( https://www.munsaintgermain.ca/pages/un-brin-dhistoire ) Mont-Louis a sa propre Pointe-Sèche, plutôt appelée dans le village Pointe-Sec.
Autres pointes-sèches au Québec :
Cette carte montre et le Barachois et la Pointe-Sec du village. Par ailleurs, dans cette carte de 1983, la Pointe-Sec est orthographiée Pointe-Sèche ! il faut croire que le ministère du transport ne connaissait pas l’appellation locale.
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